Je ne parle généralement pas beaucoup de cela (ce n'est pas vraiment quelque chose dont se vanter), mais puisque les débuts de @FourPillarsFP ont été évoqués, laissez-moi partager un peu. Lorsque nous avons commencé, nous étions tellement à court d'argent que quatre d'entre nous ont dû partager une chambre prévue pour trois. Même à ce moment-là, l'air devenait si étouffant que nous nous séparions souvent en deux groupes : deux personnes restaient dans la chambre, tandis que les deux autres travaillaient dans le salon de bureau partagé. C'était un début vraiment difficile. Parce que j'avais cofondé une entreprise assez grande auparavant et que j'avais construit un solide bilan en dirigeant la recherche là-bas, beaucoup ont supposé que Four Pillars avait été lancé sans accroc. Mais la réalité était tout autre : au début, les choses étaient extrêmement difficiles. L'entreprise avait du mal à générer des revenus, et après six mois à essayer différentes approches, nous avons fait face à échec après échec. En tant que l'une des personnes responsables de la survie de l'entreprise, j'ai décidé de réduire mon propre salaire à seulement 1 000 $ par mois, et je me suis engagé à ne pas en prendre plus jusqu'à ce que nous atteignions au moins le seuil de rentabilité. C'est à quel point notre départ était désespéré. Bien sûr, aujourd'hui, les choses semblent très différentes : l'entreprise a grandi et nous avons gagné en reconnaissance dans l'industrie. Mais je ne veux jamais oublier cet état d'esprit de ces premiers jours. Mon objectif est de faire de Four Pillars non seulement une entreprise de recherche de premier plan en Corée, mais la plus respectée de toute l'Asie — et finalement, de construire une marque avec une véritable compétitivité mondiale. Je crois que c'est la plus grande contribution que je peux apporter à cette industrie à travers le contenu et la recherche.